dimanche 14 mai 2017

Lundi 08 mai
massif du Coiron
(Gillou, Guillaume, Pat et Thierry)

Décision est prise cet après-midi de retrouver les avens du Devès et plus si affinités.

Finalement, après la descente de quelques diaclases sans intérêt, l'équipe fait choux blanc et ne pointe que l'aven aux 2 entrées, la perte de Sauviel et l'effondrement des Châtaigniers (2ème photo).
Il faudra donc revenir !
Mercredi 10 & samedi 13 mai
Aven n°2 du Serre Noir
(Pat, Thierry)
Nous revenons à la charge pour déblayer cet éboulis de base de puits que j'avais franchi en solo en 1994 pour stopper sur une étroiture derrière un bloc en ayant fait un mauvais croquis à l'époque... 
Pat, avec son organisation légendaire, a tout prévu et c'est, chargés comme des baudets, que nous parvenons à l'entrée !



Mercredi nous nous attachons à déblayer la 1ère partie, Pat allant reconnaître la suite mais ma grande carcasse imposera encore quelques travaux...
Le casque retrouvé dans l'éboulis ; on ramassera aussi un stylo bille et un flacon de shampoing !

Samedi, après une bonne paire d'heures de déblaiement, le boyau est ouvert et, effectivement, Pat a tracé une véritable autoroute (enfin presque !) ! La sortie se fait dans une petite salle où on décide de se restaurer avant d'attaquer la topo.
Auparavant, nous reconnaissons le trou jusqu'au fond (2 salles séparées par un joli méandre) et Pat tente de franchir l'étroiture terminale ; mais déjà alertés par un certain essoufflement des deux compères, il ne réussira pas en raison d'une teneur en Co2 vraiment trop importante !

Nous réalisons ensuite la topo sur un rythme plus adapté aux conditions (la piètre qualité des photos est sans doute due au léchage de l'objectif par Thierry) et nous ressortons 5 h après, sachant que désormais l'éboulis est stabilisé. Il faudra revenir quand le gaz sera moins oppressant... Je n'étais pas le premier comme l'atteste un graffiti d'un certain "A. Comte" daté de 1951 sur une stalactite de la salle terminale.

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