mercredi 14 août 2024

Samedi 27 juillet - Dimanche 04 août

Camp Gorges du Tarn

Lison, Tao, Zoélie et Judi ARNAUD, Yaëlle, Elisa, Alice et Rémy HELCK, Léo et Anne-Sophie, Benoît PASCAUD, Eole, Hélios et Guillaume VERMOREL, Nesta et Christophe LONGIN, Stéphanie et Jérôme JOURET, Benoît DESNOS, Christophe BARRE ( K2 ), Michel FAUQUE,  Cécile VERSPIEREN et Jérémie CAUSSANEL, Anne-Marie et Pat GENUITE.     

     Le camping de la Malène nous accueille pour la troisième fois pour le retour de notre camp d'été dans les Causses. Il faut dire que l'endroit est idéal ; un grand emplacement au bout du camping juste au bord du Tarn où l'on peut aisément déployer tout notre bazar, se rafraîchir et laver facilement notre matériel, une situation au pied du Méjean et un potentiel de cavités à visiter très important. Il y a foule cette année avec 25 personnes de 6 à 67 ans... dont une dizaine de jeunes.

    Après les courses la veille à Aubenas, le samedi est consacré au voyage dans la matinée et au montage du camp dans l'après midi. Nous avons opté cette année pour 4 grands abris pliables nous dispensant des grandes bâches fastidieuses à installer. ( Merci à Lionel et à K2 pour le prêt de ces pratiques barnums ).




 Dimanche 28

Perte des Hérans

Yaëlle, Elisa, Alice, Rémy

    Petite mise en jambe pour la famille Helck qui, après avoir été balader aux " Arches de St Pierre ", descend dans les gorges de la Jonte visiter cette petite cavité sans difficulté mais dixit Alice " sans concrétion mais avec beaucoup de détritus apportés par les dernières crues... "




Aven XXX

Eole, Hélios, Guillaume, Benoît D, K2, Jérôme, Foc, Anne-Marie, Pat.

     Visite de cette cavité peu connue en profitant de son équipement en fixe. Nous n'avons guère de difficulté à trouver l'entrée située à proximité de la piste. 


     Nous possédons un croquis succinct établi par téléphone qui de fait sera révèlera pour la première partie assez vague et pas toujours en concordance avec la réalité.

   Sachant le trou tout équipé, nous partons légers avec juste une corde 30 m et quelques amarrages " au cas ou... ".


      A 11 h , nous disparaissons dans le boyau d'entrée, la suite est un conduit étroit et pentu entièrement désobstrué. Nous rencontrons deux petits ressauts équipés qui nous mènent à un petit puits à ne pas descendre. Une main courante et une remontée donnent accès à un réseau complexe creusé dans la dolomie où alternent rampings, désescalades et passages étroits. 

     Le sable dolomitique est omniprésent et le secteur est "paumatoire". Nous confectionnons quelques cairns pour éviter de trop divaguer au retour. A la fin de ces passages, Guillaume et Eole, qui a la cheville strappée suite à une entorse, font demi tour. Le reste de l'équipe poursuit dans ce dédale jusqu'au démarrage de la série des verticales. Nous changeons alors de roche pour un calcaire gris plus compact dans lequel se développent les puits. Le premier P30 est légèrement arrosé et un peu parpineux comme en témoignent les nombreux impacts qui ont troué la bâche tendue à sa base. Elle protège de la douche l'accès au P15 suivant. Un court méandre incliné entièrement désobstrué mène aux deux puits suivants. Le dernier d'une dizaine de mètres débouche dans une salle concrétionnée parsemée de blocs calcités.


      C'est là que l'on s'installe pour déguster notre déjeuner composé de trois kilos de couscous tout sec, revigorant mais particulièrement " pompe salive ". L'estomac bien lesté, le Foc et AMG attaquent la remontée; les quatre autres se dirigent vers le grand méandre de 400 mètres. A la remontée, Anne-Marie repérera une  "tonche" sur la corde plein vide du P30 qui nous avait échappée à la descente. A notre retour, du bas du puits, apercevant le noeud d'isolement nous pensons d'abord à une facétie d'un de nos turbulents ados jusqu'à ce que nous découvrions la gaine abimée mise en sécurité par le Foc.


     Le grand méandre est large, varié et concrétionné. Au bout de 200 m, nous tombons sur un très esthétique P12 en bas duquel une petite vasque est bordée d'une plage de sable décorée de sapins de sable induré. 



     Un second P7 nous amène dans la partie inférieure du méandre où coule un petit actif que nous suivons jusqu'à la lèvre d'un vaste puits. Ce dernier est arrosé et équipé hors crue. Des pendules dans les deux premiers tronçons très courts nous éloignent de la cascade. Le troisième jet de 45 mètres environ est équipée de deux cordes. L'une descend vers le fond, l'autre, grâce à un grand pendule, donne accès à un balcon et une grosse galerie latérale. Les derniers tronçons équipés sur mono-spit sont moins décalés et se rapprochent de la cascade. On prend pied au fond du puits sur de gros blocs calcités par les éclaboussures de l'actif. 

Malgré les 3000 lumens de l'éclairage surpuissant de Benoît, difficile d'appréhender l'intégralité de ce très gros puits.

     La suite est pile sous la cascade et, là encore, une bâche tendue protège l'accès très arrosé au petit puits terminal à la profondeur de - 300 m. Nous remontons dans les blocs du fond du puits où nous stoppons à la base d'une escalade d'une cinquantaine de mètres. Vu la taille du puits, l'endroit en grosse crue doit être impressionnant... Retour vers la surface et le cagnard après 7h d'une balade souterraine très agréable.

                                                                              Pat

Lundi 29

   Invités par Marc Sahuquet, nous nous scindons en deux groupes pour aller visiter le matin et l'après midi une très jolie grotte concrétionnée au fond de laquelle nos amis ont entrepris une longue désobstruction.

Mardi 30 

Canoë sur le Tarn

Nesta, Christophe L, Yaëlle, Alice, Elisa, Rémy, Lison, Tao, Zoélie, Judi, Léo, Stéphanie, Eole, Hélios, K2, Benoît.

     Aujourd'hui, nous nous sommes réveillés à l'heure que nous voulons. Nous sommes descendus en bas à la location des bateaux. Nous avons pris des canoës mono et bi-places. Nous avons choisi le parcours de 11 km. 


     Nous avons pu nous arrêter à plusieurs endroits pour nager, escalader et sauter.


    Arrêt déjeuner pour avaler le pique nique préparé au camp ( salades, carottes, prunes ). Les paysages étaient magnifiques et ressemblaient à ceux du Verdon. La température de l'eau était froide mais rafraichissante en même temps.


     Vers 16 h nous sommes arrivés au terminus du parcours et nous avons dû remonter gilets, bidons et canoës. Un mini bus est venu nous chercher pour nous remonter à La Malène. Au camping c'était temps libre, chacun faisait sa vie : baignade, lecture, jeux. 

Puis la soirée s'est poursuivie.


                                                                   Alice

Grotte du Coutal

Anne-Sophie, Benoît P, Guillaume, Michel F, Jérôme, Anne-Marie, Pat.

    Arrivés aux Vignes, nous nous garons près des odorantes poubelles juste au dessus de la grosse résurgence du Rouveyrol qui draine le Causse de Massegros. Le Coutal est un regard ( 7 km de réseau quand même ) sur ce collecteur qui  résurge au milieu du village.



     De là, nous empruntons un sentier raide qui mène à l'entrée bâtie de la cavité. Pour éviter la suée, nous nous équipons dans la fraîcheur de l'escalier d'entrée.

Petite tenue pour essayer de refroidir la machine après la montée sous un soleil de plomb. 

     Une fois la vire et le petit puits de départ équipés, nous attaquons les reptations dans le réseau étroit et argileux d'entrée. Après la galerie des Mille-Pattes, nous arrivons à La Buanderie vers - 60 au départ du " Grand Coutal ". Nous cherchons un peu les passages dans la Galerie des Gours en rampant sur des margelles pour éviter de mouiller les bottes. 


     On débouche ensuite dans une galerie sèche aux parois criblées de chailles ( nodules noirâtres ) cassantes. 


     C'est très particulier et le contraste des strates claires et sombres est très esthétique.

 On déambule dans cette grande galerie en marchant dans le sable. 


Allo le camp ? Ici le Coutal. Préparez l'apéro on est là bas dans deux heures...

     Au bout, une salle après une petite cascatelle, marque l'embranchement de plusieurs réseaux. Nous décidons d'aller jeter un coup d'oeil à l'actif du Réseau de Provence. On y accède en descendant un laminoir incliné rempli de sable qui, à son point bas, obstrue le départ d'une chatière étroite. Pendant que nous désobstruons le passage, le Foc et Anne-Marie font demi tour vers la sortie. Le franchissement du pertuis est finalement plus facile que prévu et l'on peut alors descendre vers la rivière à travers un dédale de blocs couverts d'une sinistre pellicule noire. Nous sommes arrêtés par un ressaut délicat et exposé. Guillaume repassera la chatière pour aller chercher un bout de nouille pour sécuriser la descente. Pendant ce temps, avec Jérôme nous descendons l'éboulis de blocs  et nous butons sur un lac et une voûte mouillante où l'on entend le puissant vrombissement de la rivière. Finalement, ayant trouvé un shunt en hauteur, nous éviterons le bain forcé pour aller contempler le collecteur. 

    C'est l'étiage mais ça pulse. Nous estimons son débit entre 200 et 300 l/s. 


La cascade du collecteur du Réseau de Provence : ambiance garantie...

Oppo accrobatique au même endroit lors de ma visite il y a 40 ans... Nous sommes en 1984 : Texair et acéto de rigueur !

     C'est de toute beauté et il est rare de trouver un tel débit sous nos contrées. Après une rapide incursion dans l'amont, nous décidons d'en rester là et abandonnons l'idée d'aller visiter les salles Blanches et Rouges encore loin dans l'amont du réseau. Malgré quelques photos, la remontée est assez rapide et nous sortons après 5 heures de balade sous un soleil de plomb. Jérôme nous ayant fait baver toute la remontée en nous parlant de grosses boules de glace, nous rejoignons dehors le Foc et Anne-Marie et nous nous délectons dans un bar, situé au dessus de la résurgence, de bonnes coupelles de glaces tant espérées.

Le rituel de chaque soir : préparation de l'apéro accompagné d'une bonne Sturmbio.

                

                                                                                                          Pat

Mercredi 31 juillet

Abîme de Bramabiau 

Yaëlle, Elisa, Alice, Rémy, Lison, Tao, Zoélie, Judi, Léo, Anne-Sophie, Benoît P, Eole, Hélios, Guillaume, Cécile, Jérémie, Jérôme, K2, Benoît D, Michel F.

    La quasi totalité du camp part effectuer cette mythique traversée. Petits et grands sont tous équipés de combinaisons néoprène ce qui sera bien apprécié car l'eau est bien fraîche.


Au passage hommage appuyé sur la stèle de notre Edouard-Alfred national. 

Jeudi 1 août

Canyon du Tapoul

Anne-Sophie, Benoît P, Cécile, Jérémie.

     Petit canyon cévenol incontournable surtout en période de canicule. Le Tapoul est très fréquenté par les professionnels en saison estivale et les rotations s'enchainent matin, midi et après midi. La commune a donc interdit les stationnements le long de la route à proximité du cours d'eau. Il faut stationner au village et marcher ( beaucoup ) jusqu'au départ du canyon ou prendre une navette. Sportifs que nous sommes, le choix est vite fait... Moyennant 4,50 euros par personne la navette nous dépose à deux minutes du départ et viendra nous chercher à l'arrivée. 
     En se mettant à l'eau vers 12 h 30, nous profitons sans le mouvement des groupes encadrés. Nous progressons tranquillement dans ce canyon très esthétique alternant entre nage et marche plus quelques passages nécessitant une corde. Certains aiment sauter et s'en donnent à coeur joie alors que d'autres ( surtout une autre...) ne se sépare jamais d'un bon bout de corde.


    Descente réalisée en deux heures en prenant le temps. Sur la route du retour, arrêt chez les brasseurs de la Jonte pour un pique nique tardif accompagné de limonades et de bières bien fraîches !


Au camp ça s'active en cuisine ! Et ça va être succulent !

                                                                        Cécile                                                    
Aven de la Barelle

Hélios, Tao, Guillaume, Judi.

     Petit entrainement à l'équipement pour nos jeunes ados encadrés par deux vieux briscards.






Jérémie, Cécile.

     Pour rester dignes de notre club de spéléo, nous ne nous contentons pas seulement du Tapoul pour cette journée mais nous enchainons sur le déséquipement de la Barelle. 
Peut-être une paire de Bestard pour son anniversaire ?


     Nous entrons sous terre à 18 h30, la descente va vite quand tout est en place, c'est un plaisir ! Le P30 est particulièrement esthétique.  Arrivés en bas Cécile fait des démonstration de hululements de chouette avec les pouces, technique de scout...



 Quand à Jérémie, ce sera des sons sans les mains : baleine ou cachalot, on ne sait pas trop !
     Nous profitons du déséquipement pour admirer la qualité de l'équipement. Bravo aux jeunes qui ont équipé la cavité quelques heures avant.
    Sortie à 20 h, soleil rasant sur le causse jauni par la chaleur estivale. 
I'am a poor lonesome spéléo...

      Une journée complète. Arrivés au camp, les collègues nous réservent le meilleur accueil et c'est peut être un des plus beaux moments !



                                                                         Cécile

Aven Perte du Veygalier

Les membres du S.C. Engarenne, Jérôme, Michel F, Anne-Marie, Pat.

     Ayant invité Marc SAHUQUET et sa compagne à venir manger avec nous la veille au soir, nous avons inévitablement reparlé du Veygalier où nous avions déjà trainé nos bottes il y a cinq ans ( voir CR du 01/12/2019 ).             Depuis de gros travaux ont été réalisés, la cavité a bien évolué et s'est passablement approfondie, Marc nous a annoncé que la topo avait été levée jusqu'à - 100 m.  Une seconde entrée plus pratique a été ouverte et le très long boyau qui mène au premier puits a été entièrement désobstrué.




   Dorénavant plus de fastidieux ramping mais une progression plus confortable à 4 pattes. 


     Il nous invite de nouveau à venir faire un tour le lendemain. Le rendez-vous est donné sur place à la ferme du Veygalier où nous retrouvons le reste de l'équipe Lozérienne. La grille d'entrée enlevée, nous descendons dans la buse équipée d'une échelle fixe. Huit mètres plus bas nous prenons pied dans le long boyau horizontal. Nos hôtes sont inquiets car une grosse crue est passée par là et ils craignent que les sédiments et cailloutis charriés aient pu boucher le conduit. En fait c'est tout le contraire, la crue a bien lessivé le boyau, enlevé la boue et embarqué les gravats qui se sont déposés gentiment à la base du ressaut terminal. 

    Tous les blocs issus de la désob et coincés sur le côté n'ont pas bougé et c'est la très bonne nouvelle.

     La suite de la cavité est une série de petits puits équipés hors crue. Au passage nous remplaçons quelques mousquetons en fixe qui commençaient à attraper la lèpre , par de beaux maillons rapides inox. A plusieurs endroits, nous pouvons constater les grosses désobstructions effectuées : y a eu du boulot, et du gros !
    Nous arrivons finalement au fond de la cavité qui est un puits méandriforme étroit d'une dizaine de mètres. C'est limite pénétrable et rasqueux. A la base une étroiture sévère surplombe un nouveau cran de descente très étroit d'environ huit mètres,  confirmé par le jet de quelques caillasses. 
     Ca continue, le courant d'air est là et l'actif principal qui sort à la résurgence 200 m plus bas ne doit pas être très loin. Mais c'est encore un beau chantier qui attend nos amis ! 
    A noter qu'aux deux tiers du trou, une galerie latérale qui se développe dans la même direction que le méandre du fond est actuellement arrêtée par une coulée stalagmitique. Derrière la petite lucarne on devine une suite plus large qui pourrait peut être révéler une bonne surprise ; et là le chantier serait beaucoup facile. A suivre donc...
   De retour en surface après quelques bières et un pique nique partagé à l'ombre d'un chaos rocheux, Marc nous emmène voir quelques entrées de trous qu'il a repérées et qui sont sur sa longue liste des projets de désob.  
                                                                          Pat

( Un grand merci à Marc et ses coéquipiers Lozériens pour l'invitation et le partage de leurs découvertes. )

Vendredi 2 août

Grotte des Sourguettes

Lison, Zoélie, Cécile, Jérémie, K2, Benoît, Jérôme, Anne-Marie, Pat.

     Une incursion rapide lors du congrès caussenard de 2022 ( voir CR du 26/09/2022 ) m'avait fait découvrir cette courte mais jolie petite rivière des gorges de la Jonte.


      J'y emmène toute la troupe pour une sortie relax et familiale. Pas trop de difficulté pour trouver l'entrée au bord de la Jonte, à sec en cette période. Nous cassons la croûte devant l'ancienne grille d'entrée qui fermait auparavant la première salle qui servait de cave à fromages.



     Petite erreur au début où je me trompe de branche. Rectification du tir en visionnant la topo qui nous remet dans le droit chemin. Nous découvrons par endroit de belles formes de galerie. 



     Nous arrivons à la salle du Chaos puis à la salle du Sable. De là il n'y a qu'à suivre les tuyaux pour retrouver le cours de la rivière. 

Dans la partie fossile de beaux interstrates de lignites.

    Un passage supérieur nous amène par un ressaut scabreux dans une petite salle où cascade la rivière. 

      Une petite escalade acrobatique permet d'atteindre le pied du limnimètre.


 Une salle basse ensablée et c'est le premier siphon et son curieux tuyau. 

   Retour paisible en faisant quelques photos.



                                                                                                          Pat

Aven de Hures

Léo, Eole, Hélios, Tao, Guillaume, Judi.

      Comme nous sommes nombreux à vouloir faire un tour à l'aven de Hures, nous décidons de partager les équipes. L'équipement sera dévolu à nos jeunes, encadrés par nos spécialistes. Ils laisseront le matos en place jusqu'au bas du puits de l'Echo.





Samedi 3 août

Aven de Hures

Léo, Anne-Sophie, Benoît D, K2, Michel F, Jérôme, Anne-Marie, Pat.

     Nous sommes 7 aujourd'hui pour assurer le déséquipement du trou. Descente paisible en admirant le paysage et en faisant quelques photos en profitant du puissant éclairage de Benoît. 




      Nous stoppons comme prévu au départ de la rivière après le puits de l'Echo pour casser la graine. 



Le puits de l'Echo illuminé par Benoît. 
     
     Une fois rassasiés, Anne-Sophie et Léo attaquent la remontée, Léo récupérant et remontant le kit perfo comme une flèche du haut de ses 13 ans ( la relève est assurée... )


    Benoît s'occupera de déséquiper le P44 puis K2 et Jérôme prendront la relève pour la suite.

    Le soir, sortie au resto pour conclure en beauté ce super séjour qui a ravi tout le monde.
    Le lendemain sera consacré au pliage du camp et au remplissage au chausse-pied de nos véhicules puis ce sera le retour vers notre caniculaire Ardèche.
                                                                                                                                                                                                                                                                                      Pour le S C A : Alice, Cécile, Pat




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